La course à l'échalote
Voilà donc plusieurs semaines, si ce n'est plus d'un mois que je suis à la recherche d'un stage (d'où en partie l'inactivité du blog). Bien que n'ayant pas de résultat définitif pour le moment, j'ai tout de même vécu quelques expériences que je souhaite partager.
Tout d'abord, je me suis amusé des précautions oratoires prises par les DRH dans leur refus. Tout comme, à l'arrivé en école de commerce, nous étions devenus des clients potentiellement aisé à moyen terme, et donc traités comme tel ("Payer votre Carte Bleue ? Mais jamais de la vie, notre banque vous l'offre pendant la durée de votre scolarité !"). Me voilà face des recruteurs qui regrettent de ne pas pouvoir donner suite à ma candidature malgré sa très grande qualité (merci !), et que surtout je ne prenne pas ce refus personnellement, je ne dois pas hésiter à postuler de nouveau lorsque j'en aurai l'occasion (c'est noté !).
Puis viennent les entretiens, ça va du classique dans la petite structure, au plus élaboré dans la grande structure (et que je te passe un test de pré-sélection, puis un premier entretien, et puis un deuxième entretien, et pourquoi pas un troisième avec le responsable si les deux premiers estiment que j'en vaux la peine. Imaginons que je souhaite aller à l'étranger : je suis bon avec un n-ième entretien téléphonique avec le manager du pays...).
Mais il arrive aussi que des situations cocasses se présentent. Quand je postule à une offre de stage publiée sur l'intranet de l'école par une camarade de promo par exemple... Mais il faut tout de même faire la lettre de motivation dans les formes...
Dans la même catégorie, je me souviendrai toujours de l'entretien téléphonique que j'ai passé sur le bas-côté de la N4, sous une pluie assez fournie, avec le passage des camions qui en plus de fournir un fond sonore original faisait trembler l'habitacle. Fou rire garanti. Heureusement, je connais mon interlocuteur ! D'ailleurs l'entretien est assez épuré :
Interviewer : Quelles sont tes motivations pour rentrer dans l'entreprise *** ?
Moi : Cela rentre dans la droite lignée de ma formation en Management des Organisations qui...
Interviewer (ironique) : Mmmm, je crois que cette formation me dit quelque chose, d'ailleurs, on y était ensemble...
Après viennent aussi les stages à l'étranger, où je décroche mon téléphone, toujours dans ma voiture, comme le veux la stricte application de la loi de Murphy : "Bonjour, on peut continuer en anglais ? - Oui, mais je préfèrerais me garer avant de vous répondre !". 15 minutes plus tard, alors autre coup de téléphone : "¿ Eres Alejandro ?"... Soupirs...
Tout d'abord, je me suis amusé des précautions oratoires prises par les DRH dans leur refus. Tout comme, à l'arrivé en école de commerce, nous étions devenus des clients potentiellement aisé à moyen terme, et donc traités comme tel ("Payer votre Carte Bleue ? Mais jamais de la vie, notre banque vous l'offre pendant la durée de votre scolarité !"). Me voilà face des recruteurs qui regrettent de ne pas pouvoir donner suite à ma candidature malgré sa très grande qualité (merci !), et que surtout je ne prenne pas ce refus personnellement, je ne dois pas hésiter à postuler de nouveau lorsque j'en aurai l'occasion (c'est noté !).
Puis viennent les entretiens, ça va du classique dans la petite structure, au plus élaboré dans la grande structure (et que je te passe un test de pré-sélection, puis un premier entretien, et puis un deuxième entretien, et pourquoi pas un troisième avec le responsable si les deux premiers estiment que j'en vaux la peine. Imaginons que je souhaite aller à l'étranger : je suis bon avec un n-ième entretien téléphonique avec le manager du pays...).
Mais il arrive aussi que des situations cocasses se présentent. Quand je postule à une offre de stage publiée sur l'intranet de l'école par une camarade de promo par exemple... Mais il faut tout de même faire la lettre de motivation dans les formes...
Dans la même catégorie, je me souviendrai toujours de l'entretien téléphonique que j'ai passé sur le bas-côté de la N4, sous une pluie assez fournie, avec le passage des camions qui en plus de fournir un fond sonore original faisait trembler l'habitacle. Fou rire garanti. Heureusement, je connais mon interlocuteur ! D'ailleurs l'entretien est assez épuré :
Interviewer : Quelles sont tes motivations pour rentrer dans l'entreprise *** ?
Moi : Cela rentre dans la droite lignée de ma formation en Management des Organisations qui...
Interviewer (ironique) : Mmmm, je crois que cette formation me dit quelque chose, d'ailleurs, on y était ensemble...
Après viennent aussi les stages à l'étranger, où je décroche mon téléphone, toujours dans ma voiture, comme le veux la stricte application de la loi de Murphy : "Bonjour, on peut continuer en anglais ? - Oui, mais je préfèrerais me garer avant de vous répondre !". 15 minutes plus tard, alors autre coup de téléphone : "¿ Eres Alejandro ?"... Soupirs...